[Tarzan]

La musique d'ambiance résonne dans la galerie, s'incrustant déjà dans la mémoire des clients énervés de savoir qu'ils fredonneraient cet air des heures après avoir terminé leurs achats .

Vous-vous tenez devant la vitrine d'un magasin d'électroménager : après de longs débats, houleux avouons-le, avec votre femme la veille, vous avez-décidé aujourd'hui de rattraper cet oubli de la St Valentin ...
Songeur devant ce superbe aspirateur sans fil à 134,56 Eu seulement, vous ne réagissez pas tout de suite au vacarme assourdissant : l'alarme militaire résonne dans la vile.

Au bout d'un petit moment, vous reprenez conscience, et vous ne trouvez pas normal que l'alarme retentisse aussi longtemps, de plus, vous savez que nous sommes le 15 du mois.
Vous-vous dites qu'il s'agit peut être d'un dysfonctionnement, ou qu'il s'agit d'un exercice sait-on jamais, mais ils en auraient parlé dans les journaux, à la télé et à la radio, hors vous n'avez pas le souvenir d'avoir entendu parler d'un exercice militaire.

La musique d'ambiance c'est arrêté, et il n'y a maintenant plus que ce son strident. Vous regrettez déjà la musique ...
Autour de vous, les gens sont comme vous : ils ne savent pas vraiment ce qu'il se passe.

Descriptions :

Vous vous trouvez au niveau 3. Le magasin comporte 4 niveaux, allants de -1 à 3.
Les niveaux communiquent entre eux via des escalators électriques; au centre, deux ascenseurs.
D'où vous-vous tenez, vous voyer les niveaux 2 (environs 4 mètres en dessous) et 1(environs 8 mètres en dessous).
Illu. explicative ( dans le jeu, le magasin est moins moderne, mais si vous vous trouvez là où il y a le cercle rouge, alors vous verrez les niveaux inf. ou supérieurs )



Nous sommes Samedi, il est 18h30 : il y à pas mal de clients; quelques familles et leurs enfants sont présents.

"Il doit vraiment se passez quelque chose, pas le choix je dois y aller"

Tarzan prend alors la direction du parking du centre commercial, il descend par les escalator en courant afin d'arriver le plus tôt possible a la base, il monte au volant de sa voiture et démarre. Il allume l'autoradio sur sa station préféré et monte le son pour camouflé l'alarme qui lui donne un mal de tête épouvantable. Puis il part vers la base.

[HRP] Tarzan, essaye d'enchainer moins d'évènements à la fois. En effet, tu ne sais pas ce qui va se passer entre-temps. Dans le cas présent, tu n'es pas encore sorti du centre-commercial ^^ [/HRP]

Dans ta précipitation, il te faut un petit moment pour te rendre compte que les escalators se sont arrêtés. Cela n'entrave pas ta progression, mais tu comprends que c'est le signe que le magasin a mis en place la procédure standard en cas d'action de ce type.
Les vigiles escortent les clients à sortir des magasins et à se rassembler dans les halls et les galeries, endroits où la construction est la plus solide, protégé des chutes de débris et possédant des sorties proches.
Les vendeurs incitent les clients à se relaxer, les rassurant et leur offrant quelque chose à boire et à grignoter. Passant par-dessus l'alarme militaire, la voix de l'annonciatrice se fait entendre à travers les hauts-parleurs, en priant les gens de bien vouloir obéir aux membres de la sécurité. La tension est palpable. Cependant, au vu de l'absence de danger visible, il n'y a pas encore d'émeute.

Alors que tu arrives devant la porte du parking, tu voix un vigile posté juste devant, te barrant le passage. En te voyant arriver, il dit d'une calme qu'il veut rassurante :

"Désolé, Monsieur, mais vous serez plus en sécurité dans le hall avec les autres clients, en attendant que nous ayons davantage d'informations. Cet endroit est parfaitement protégé des tremblements de terre et autres cataclysmes de ce genre, et les vigiles vous protégeront en cas d'évasion massive de prisonniers.
En attendant davantage d'informations, il vaudrait mieux que personne ne sorte. Je suis désolé, mais c'est la procédure. Ne vous inquiétez pas, nous saurons bientôt ce qui se passe. Vous êtes en sécurité, ici."

La porte menant au parking souterrain consiste en une lourde porte pare-feu à double battants. Le vigile se tient juste devant. Derrière toi, des vendeurs escortent les derniers retardataires vers le hall. Les premiers magasins se trouvent à peine une dizaine de mètres près de toi.
L'alarme continue de résonner.

Tarzan leva les yeux en l'air et dit au vigile:

"Je suis le sergent Delajungle, je dois rejoindre le complexe militaire au plus vite afin d'en apprendre plus sur cette alerte"

Sans attendre de réponse du vigile, Tarzan essaya de se faufiler a l'extérieur

"Hum. Excusez-moi, Monsieur Delajungle."

Et il s'écarta pour te laisser passer la porte. Alors que tu coures en direction de ta voiture, il crie :

"Pourriez-vous nous téléphoner une fois que vous en saurez davantage ? Merci."

Sur ce, tu sautes dans ta voiture, et sort rapidement du parking souterrain. Cependant, tu ne fais pas énormément de trajet avant de te retrouver dans des embouteillages. Apparemment, les forces de l'ordre n'ont pas réussi à endiguer complètement la panique. De plus, les feux tricolores passés au rouge n'aident pas ta progression...

"Dois-je vraiment y aller? ne serais-ce pas trop dangereux d'aller voir ce qu'il se passe? bon cesse de questionnement, je me dois d'y aller."

Je décide alors de descendre dans la station de métro

Après une légère hésitation, tu te décides à y aller. Tu descends la volée de marches menant au métro en courant (l'escalator s'est bloqué), tu parcours le couloir reliant la sortie aux rails, puis arrive finalement aux guichets. Là, hormis de larges traces de sang sur le sol et les murs, il n'y a rien. Si : la fenêtre du guichet a éclaté.

Tu parcours rapidement la pièce sans remarquer de choses insolites. Soudain, un bruit sourd et proche se fit entendre, suivit de près par un autre. Tu cours vers la source du bruit, et te retrouves devant la porte des toilettes. Un policier en uniforme est en train d'essayer de défoncer la porte, probablement fermée à clef et barricadée. Il prend à chaque fois son élan et se jette maladroitement contre la porte.

"Pardon, Monsieur le policier, demandes-tu en t'approchant. Je suis le Sergent Delajungle. J'aimerais savoir ce qui se passe ici."

En entendant ess mots, le policier s'arrête, puis se tourne lentement vers toi. A ce moment, tu pousses un cri de stupeur en te rendant compte que son uniforme est partiellement déchiré et couvert de sang. Il porte plusieurs blessures ouvertes au torse, aux membres et à la nuque. De plus, son oeil gauche a été profondément griffé récemment, et du sang coule encore de son orbite.

Tu recules de deux pas, te demandant ce qu'il convenait de faire. A ce moment, le policier, s'avance vers toi en accélérant lentement, la bouche ouverte en montrant ses dents comme un animal, les bras placés comme prêts à frapper...

Ne demandant pas ton reste, tu prends tes jambes à ton coup et court vers la sortie par laquelle tu es venu, espérant de ce fait repartir avec le vélo que tu as laissé à la sortie du métro. Jetant de temps à autres un coup d'oeil derrière toi, tu te rends compte que le policier court plus lentement que toi, ce qui te permet de prendre une petite avance pour chercher le pistolet du policier.

Alors que tu passes près du guichet, ton regard est à nouveau attiré par l'abondance de sang qui s'y trouve. Peut-être que c'était là que le policier s'était servi de son pistolet. Tu profites de ton avance pour faire rapidement le tour du guichet, et finit par trouver ce que tu espérais trouver : le petit pistolet du policier, qui a volé dans un coin. Vite, tu t'en saisis et te retournes pour voir son propriétaire faire un dernier bond pour t'attraper. Tu ne lui en laisses pas le loisir et tire rapidement trois balles pratiquement à bout portant tout en faisant un mouvement vertical du bras. La première balle se plante dans sa poitrine, la deuxième dans sa gorge, et la troisième dans sa tête. Il tombe par terre et y reste, complètement inerte.

Essouflé par les émotions davantage que par la course, tu t'éloignes de quelques pas tout en laissant ton arme pointée sur lui. Mais il ne fait plus mine de bouger.

Tu te permets alors de souffler et d'abaisser le pistolet, tout en levant les yeux autour de toi. Il n'y a toujours personne. C'est alors que tu te souviens que le policier essayait de défoncer une porte. Comprenant qu'il n'était pas dans un état normal et que c'était peut-être lui la cause de tout ce carnage, il est possible que quelques civils se soient retranchés dans les toilettes.

Avant d'y aller, tu vérifies machinalement la quantité de balles qu'il te reste dans ton chargeur, histoire de savoir sur quoi compter.
2 balles. C'est tout ce qu'il te reste.

"C'est mieux que rien... penses-tu."

Tu coures alors rapidement vers les toilettes. Arrivé devant celles-ci, tu toques calmement à la porte, d'une voix que tu veux rassurante.

"Vous m'entendez ? Vous pouvez ouvrir la porte, il n'y a plus de danger. Je suis le sergent Delajungle, vous ne risquez plus rien."

Tu continues ainsi pendant une bonne vingtaine de secondes avant d'entendre que l'on déplace quelques objets lourds de l'autre côté de la porte, qui s'ouvre alors lentement. Instinctivement, tu recules d'un pas et crispe les mains autour de ton pistolet, au cas où ce serait un piège. Mais ça n'en est pas un. Tu vois quelques civils à l'air apeuré, qui sortent lentement des toilettes. Il y a là un vieil homme d'environ 55 ans et qui porte une large blessure de griffe à la tête, heureusement superficielle, bien qu'elle saigne beaucoup à cause du passage de la plaie sur l'arcade sourcilière. Derrière lui se trouve un homme plus jeune d'une vingtaine d'année, tenant serré contre lui une femme du même âge. Tous deux semblent indemnes.

"Ne vous inquiétez pas, les rassures-tu. Pouvez-vous m'expliquer ce qui s'est passé ?"

Le vieil homme, qui semble être le seul en état de te répondre, te dis alors :

"Monsieur le Sergent. Ils étaient une bonne vingtaine. Ils semblaient humains, mais... ne l'étaient visiblement plus.
-Il ne sont pas vivants... c'est impossible, non... dit la jeune femme terrifiée que son compagnon, également en état de choc, essayait de réconforter.
-Oui, probablement, continua le vieil homme en sortant un mouchoir pour enlever le sang sur son front. C'est vrai qu'au vu de leurs blessures... Ils nous ont surpris alors que nous évacuions le métro. La dernière rame s'était arrêtée et nous sommes arrivés ici à pied. Quand ils nous ont vu, ils ont sauté sur les premiers passagers, et...
-C'était horrible, reprit le jeune homme. C'était... atroce. Un véritable carnage.
-Mais le pire, alors que les gens fuyaient dans toutes les directions, c'était que ceux qu'ils avaient tués se relevaient peu après. Mais ils avaient perdu toute trace d'humanité... Ils étaient devenus des leurs. Un policier se trouvait parmi nous. Voyant que nous étions encerclés, il a sorti son arme et a fait feu. Mais ça semblait inutile. Les balles semblaient uniquement les renverser."

En entendant cela, tu ne pus t'empêcher de te retourner pour regarder le guichet au loin. Le corps du policier gisait encore sur le sol.

"Ils nous ont alors sauté dessus. Nous avons eu toutes les peines du monde à nous échapper. Nous devions être une vingtaine près du guichet. Nous ne sommes plus que 3."

Au même moment, un hurlement bestial identique à ceux que tu as entendu auparavant se fit entendre.

"Ce sont eux !! s'écria la jeune femme."

Tu étouffes un juron. Ils ont dû entendre les coups de feu. Il te faut trouver rapidement une solution. Devant toi se trouvent les toilettes, elles-mêmes divisées en 2 parties : celles des hommes et des femmes. Les toilettes donnent sur un couloir. Une de ses extrémités donne sur une autre sortie que celle par laquelle tu es venu. L'autre donne sur le hall principal, duquel part un autre couloir que tu as déjà emprunté pour arriver ici.
Par le hall, tu peux également prendre un petit escalator qui mène à la ligne de métro rouge, ou un autre un peu plus grand menant plus bas, à la ligne de métro jaune.

Il y a également ici et là des portes probablement verrouillées permettant la maintenant des voies ferrées et du système électrique de la station.

Toute cette histoire semble plutôt bizarre, mais nous n'avons pas le temps de nous attardais.

"Venez il faut partir d'ici pour se protégé dans un endroit plus sure. Suivez moi"

Je décides alors d'emprunter le chemin de la sortie la plus éloignée du hurlement entendu.

Il me reste 2 balles, et apparemment il y a d'autre personne qui se sont retrouvé comme le policier, il faut que je trouve de quoi me défendre.

Je décide donc de rentré dans le premier bâtiment que je vois a la recherche d'un objet capable de me défendre, peut être un grand couteau de cuisine. Ce sera une arme qui sera éphémère mais surement la plus efficace dès que je n'aurais plus de balle dans mon chargeur.

Tout en demandant aux trois hommes avec toi de continuer de te suivre, tu entres dans la première maison venue par une porte défoncée. Cela t'inquiète un peu, mais vu que la plupart des maisons dans le coin étaient dans cet état, cela ne servait à rien de faire son difficile.
Préférant ne pas t'attarder dans la maison, tu décides de fouiller uniquement là où tu aurais des chances de trouver ce que tu souhaites, soit la cuisine.
Tu ne peux t'empêcher de remarquer que la maison porte les traces d'une lutte récente, et que le sol est par endroits recouvert de sang. Tu ne peux t'empêcher de repenser à ce que le vieil homme t'a dit : apparemment, ceux tués par ces créatures en deviennent à leur tour. On se croirait dans un film de zombies... Oui, zombies, ce serait peut-être le terme qui conviendrait le mieux pour les décrire.

Une fois dans la cuisine, tu n'as aucun mal à trouver un grand couteau, servant habituellement à couper de gros morceaux de viande. D'après les traces de luttes et le sang, une autre personne devait avoir eu la même idée que toi... probablement en vain. Mais bon, faute de mieux, c'est toujours ça de pris. Après tout, tu as bien réussi à éliminer le policier-zombie. Alors, pourquoi un couteau serait inutile ?
Tu en aurais bien pris 2 ou 3, histoire de ne pas se retrouver sans arme. Mais en l'absence de fourreau où les ranger, cela risquerait d'être dangereux.

Tu recommandes aux trois autres d'en faire de même. C'était toujours mieux que rien. Ceux-ci acquiescent gravement et en prennent également.

Au même moment, vous entendez tous le plancher craquer à l'étage supérieur. Aussitôt, tu te figes, les sens en alerte. Le vieil homme fronça un peu les sourcils tandis que les jeunes se serrent l'un contre l'autre. Tous restent silencieux.

Finalement, le vieil homme s'approche de toi et te murmure :

"Sergent, à votre avis, c'est un hasard, un survivant comme nous... ou l'un des leurs ? "

Equipement :
-Pistolet 9mm : 2 balles restantes
-Grand couteau de cuisine

Je lui répond en chuchotant :

"Je ne sais pas, mais je pense qu'il vaut mieux vérifier, plus on sera nombreux pour se défendre, mieux cela vaudra."

Je décides alors de parler a hautes voie afin de capter l'attention de l'individu a l'étage si je ne reçois pas de réponse, alors la question ne se posera plus et je choisirais de fuir avec mais compagnon en direction du commissariat du sud. Dans le cas contraire je déciderai de monter a l'étage.

"Il y a quelqu'un?? répondais nous ne vous voulons aucun mal. Si vous ne répondais pas nous partirons."

Tu lances ton appel, qui se perd dans la maison. Tu laisses quelques secondes d'attentes, puis tu fais signe à tous de courir à l'extérieur. A peine as-tu mis le pied sur le porche qu'un véritable bruit de cavalcade se fit entendre à l'étage supérieur. Mais toujours pas de réponse distincte.
Tu n'as alors plus de doute sur l'identité de la personne.

Une fois dehors, vous vous mettez à courir vers le Sud-Ouest, qui est la direction du commissariat du Sud. Jetant un coup d'oeil derrière toi, tu vois un être humain sortir de la maison, puis dresser sa tête à la manière des chiens et pousser un long hurlement qui passe pour un cri de rappel. Puis, il se met à ta poursuite.

Vous courrez tous les trois à toute vitesse, vous tenant la main pour vous tirer les uns les autres.

Tu zigzague entre les voitures abandonnées ou accidentées, et continue ta ligne droite. Cependant, la distance est quand même assez longue, trop longue pour être faite en sprint, et le zombie semble reprendre l'avance que vous aviez sur lui avec votre départ fulgurant. Contrairement à vous, il ne semble pas ressentir la fatigue.

Si tu étais seul, tu aurais pu peut-être arriver au commissariat avec lui, mais avec les 3 civils, cela ne semble pas être une possibilité. Il te faudra trouver un autre plan.

Un nouveau cri animal capte ton attention : deux autres zombies viennent de se joindre à la course...

Samedi, 19h15 environ...

"on va devoir se battre! prenez vos couteaux."

Je décides alors de me battre contre les 3 "zombis" et afin de ne pas perdre de balle j'attends que ceux-ci soit assez proche pour être sur de les touché en pleine tête. Il me reste 2 balles, si je vise bien j'éliminerais ainsi 2 adversaire.

Tentant le tout pour le tout, vous vous retournez et vous préparez au contact. Les trois civils ont le bras qui tremble, la main crispée sur leur arme improvisée. Quand à toi, tu mets un genoux à terre pour te stabiliser tout en prenant un bon appui pour charger, et vise précautionneusement.

Deux coups de feu retentissent, deux tirs à la tête. Les deux premiers zombies tombent sur le sol. Tu te projettes alors en avant sur le troisième, le percutant de plein fouet et roulant au sol avec lui. S'ensuit une lutte acharnée. Le zombie te mord et te griffes sans se soucier de sa propre sécurité. En même temps, les coups de couteau semblent à peine l'affecter. Mais finalement, tu sens qu'il arrête de gesticuler. Tu le poignardes alors à la gorge et te relève.

Les trois civils sont en train de combattre l'un des deux zombies que tu avais atteint d'une balle dans la tête. Cela n'a pas suffit pour le tuer. L'autre, cependant, git par terre inanimé.

Sans plus attendre, tu te jettes sur l'autre zombie et lui tranche nettement la gorge. Il tombe alors sur le sol et n'y bouge plus.

Le bilan n'est pas terrible. Tu as reçu plusieurs griffes peu profondes, ainsi qu'une morsure peu profonde également dans l'épaule. Tu déchires l'un de tes habits et te fais rapidement un bandage.

Quant aux civils, ils ont tous essuyé leur lots de blessures superficielles, mais le jeune homme a eu l'avant-bras gauche arraché par les dents du zombie, et il est en train de gémir en pleurant, se vidant lentement de son sang tandis que les deux autres lui font rapidement un garrot. Mais cela ne suffira peut-être pas longtemps.

Mais il ne faut pas trainer. Les coups de feu vont attirer d'autres zombies. Tu les presses alors et vous repartez tant bien que mal en direction du commissariat du Sud.

Arrivé devant celui-ci, tu as une bien mauvaise surprise. Des voitures accidentées prennent feu aux alentours, les voitures de police sont renversées, la porte du commissariat est défoncée, les vitres sont brisées, et un silence de mort règne.

Apparemment, il n'y a pas de survivants...

Samedi, 19h30

"Cette endroit ne me parait pas très sur... mais c'est le seul endroit ou nous pourrons nous procurer des armes plus performante que nos couteaux de cuisine. Nous devons y aller sans un bruit."

Je décides alors d'avancer en prenant soin de regarder partout afin de ne pas être surpris.

Les autres acquiescent silencieusement. Le jeune homme sanglote et se lamente, en se demandant s'il sera zombifié, tandis que sa petite amie peine à le consoler.

"Espérons que l'on trouve de quoi panser et désinfecter nos blessures, dit le vieil homme. Je ne sais pas comment leur état se transmet, mais je préfère ne pas prendre de risques."

[i] Vous avancez lentement vers le commissariat, et montez lentement les marches. Une fois à l'intérieur, vous êtes témoins du carnage qui s'est passé ici. Une tornade semble être passée dans les bâtiments. Tous les objets sont au sol, les armoires sont tombées, les tiroirs sont défoncés, une canalisation a sauté et inonde le sol.

Vous fouillez rapidement les lieux et tu trouves l'armurerie du commissariat. La porte est ouverte et de nombreuses armes manquent à l'appel. Tu trouves cependant quelques pistolets ainsi que des chargeurs. Tu passes outre les lacrymogènes et les tasers (tu doutes que ce soit aussi utile qu'un couteau). Pendant ce temps, les autres civils sont autour de l'armoire à pharmacie.

Une fois le plein de munitions fait, tu désinfectes également tes blessures et fait des bandages dans les règles de l'art.

Une fois fini, tu te rends compte que tu n'as trouvé aucun gilet en kevlar... les policiers devaient en porter quand ils se sont faits attaquer.

Maintenant, certains zombies doivent en avoir...

Bien, maintenant, que faire ?"

Equipement :
2 pistolets glock 9mm : 15 balles dans chaque chargeur, 4 chargeurs de rechange.

Que pouvons nous faire? Nous possédons des armes pour nous défendre, Une trousse de secours pourrait nous être utile.

"Partons a l'hôpital st martin, la nous pourrons cherchez de quoi soigner nos futures blessure. Il y a aussi surement de quoi manger là-bas."

Je décides donc de me rendre a l'hôpital.

Vous sortez dans la rue, soutenant à moitié le jeune homme blessé qui grimace de douleur en serrant son moignon contre lui. Son teint blanchit lentement. Il ne tiendra probablement pas le coup longtemps ainsi.

La nuit tombe lentement, réduisant ton champ de vision.

Ouvrant la marche, un pistolet à la main, tu avances rapidement, profitant un maximum des zones d'ombre. Cependant, après quelques rues seulement, tu entends des bruits de pas un peu partout suivis par de petits cris d'animaux, probablement poussés par les zombies.

Apparemment, leur activité semble s'accroitre de plus en plus.

Vous vous resserrez légèrement les uns contre les autres, et continuez votre progression. Mais rapidement, les bruits se rapprochent, et proviennent de toutes les directions.

A moins d'un plan génial, vous n'arriverez pas vivants à l'hôpital...

Samedi, 20h.