[Qbifree]

Vous sortez du cinéma "la liberté", le film vous a mis de bonne humeur et vous n'avez pas envie de rentrer chez vous. Vous décidez de vous promenez dans le quartier. Arrivé à la place de la liberté vous vous dites alors que vous n'avez jamais pris le temps de lire ce qu'il y a d'inscrit sur la stèle des colonnes, c'est l'occasion ou jamais (vous venez de traverser toute la ville pour allez voir le film) et vous vous dirigez vers le monument. "À la mémoire des hommes et des femmes qui se sont battus pour la liberté d'Hergcity et contre l'aliénation humaine".
Vous vous demandez quel est la signification de cette phrase tout en regardant le soleil descendre entre les colonnes de marbres. De vagues souvenirs d'un cours d'histoire au collège vous reviennent, au XIX ème siècle une partie de la ville se seraient révoltées, prônant l'anarchie. Il fallut plusieurs mois pour mater la révolte mais finalement le calme revint et l'on érigea les colonnes à l'endroit ou les anarchistes se sont fait encerclés et abattre jusqu'au dernier. Il vous semble également que la construction du camp militaire date de la même époque.
Un son inhabituel vous sort de vos pensée, la sirène militaire se met à retentir, les quelques piétons s'arrêtent et commence à commenter l'événement. Un chauffeur de taxi qui attendait son passager non loin de là est même sortit de son véhicule pour essayer de voir ce qui se passe. Il est 18h30, au son strident de la sirène militaire se mêlent celui des véhicules de police et de pompiers.

Description :
Vous êtes sur la place des colonnes de la liberté, elle fait environs 500 mètres de long, les colonnes forment une allée, la stèle que vous venez de lire se trouve à l'est de l'allée. De chaque cotés de la place se trouvent des routes à 2 voies en sens unique, de l'autre cotés des routes se trouvent des immeubles d'environs 5 étages ainsi que des petits commerces. Le taxi se trouvent juste derrière vous, il ya quelques passant (une dizaine) qui se trouvent sur la place de la liberté.

L'air se rafraichît soudain de quelques degrés. La place qui était animée jusque la s'arrêta net comme si on avait pressée le bouton Mute d'une télécommande.
Alors que je regardait autour de moi ce qu'il se passait, je sentît quelque chose me toucher la jambe. Sursautant de peur je me suis écartée d'un grand bond et regardât ce qui m'avait touchée. C'était la portière du Taxi derrière moi.

* Quel peur il ma fait celui la *

" - Oh excusez moi je ne voulais pas vous faire peur
- Ce n'est pas grave, c'est cette sonnerie qui me met a cran ", m'exclamais-je d'un ton faible.
" - Savez vous ce qui se passe ?
- Je suis comme vous dans l'ignorance, mais j'ai lu sur cette statue qu'au XIXe Siècle une partie de la ville se seraient révoltées, prônant l'anarchie. Peut-être se passe t'il encore la même chose aujourd'hui, je ne sais pas.
En tout cas nous ferions mieux de nous mettre a l'abri et d'écouter les informations. "

En regardant autour de nous, il n'y avait plus personnes sur la place. Tous était partis se réfugiés on ne sait ou.

" - Venez dans mon Taxi, nous pourrons écouter les informations depuis celui-ci "

Et nous montèrent ensemble dans le Taxi en attente de plus ample informations

Le chauffeur n'avait pas l'air trop inquiet, il tournait le bouton de son poste radio afin de trouver une station d'info qui pourrait vous renseigner sur la situation actuelle. Tout en cherchant il commença à vous posez divers questions, avec un accent marocains que vous avez parfois du mal à comprendre, sur votre vie, votre métier, ou vous habitez. Au bout de quelques minutes il trouva enfin la station d'info de la ville, le chauffeur se tut alors.

" - Merci Martin pour cette chronique économie, retrouvons tout de suite notre envoyé spécial à la mairie d'Hergcity, Claire à vous l'antenne.
- Bonjour Valérie, je suis actuellement devant la mairie, ou se rassemble les élus en toute hâte, je vais tenter d'interviewé l'un d'eux."

Valérie repris la parole:

" - Voila maintenant 15 minutes que la sirène militaire rugit dans Hergcity, sans interruption. L'armée est resté muette sur les raisons du déclenchement de la sirène mais il semblerait que la réunion rapide de nos élus locaux prouve que un événement important à eu lieux...
- Valérie je suis avec le conseiller Fourraux, monsieur Fourraux que pouvez vous nous dire sur cette sirène qui retentit?
- Je ne peux rien vous dire pour l'instant, mais je peux vous assurez que ce n'est pas grave, les citoyens de la ville ne doivent pas céder à la panique, ils doivent simplement suivre les directives des forces de l'ordre et tout ce passera bien.
- Est ce qu'il y à un danger potentielle? une évasion? une catastrophe industrielle ou naturelle?
- Non rien de tout cela mademoiselle, nos citoyens sont en sécurités..."

Le chauffeur changeât soudain de station de radio pour en mettre une qui diffusait de la musique orientale.

" - C'est toujours pareil, les infos ne donnent pas d'infos, elles ne font que vous donnez encore plus de sujets d'inquiétude. Je vous dépose quelque part?"

Dehors tout semblé figé, les commerces était fermées, les maisons avait les volets clos et les portes barricadée. L'annonce avait provoqués chez les gens une sorte de Psychose.

" - Excusez moi mais on ne sait pas présentée je m'appelle Mohamed BenSalem et vous ?
- Edwin Jaegger ravi de faire vôtre connaissance."

Aprés avoir bavardé pendant quelque minute avec le chauffeur, celui-ci alluma la radio et tomba sur la station de radio qui parlait de l'actualité.

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" - Merci Martin pour cette chronique économie, retrouvons tout de suite notre envoyé spécial à la mairie d'Hergcity, Claire à vous l'antenne.
- Bonjour Valérie, je suis actuellement devant la mairie, ou se rassemble les élus en toute hâte, je vais tenter d'interviewé l'un d'eux."

Valérie repris la parole:

" - Voila maintenant 15 minutes que la sirène militaire rugit dans Hergcity, sans interruption. L'armée est resté muette sur les raisons du déclenchement de la sirène mais il semblerait que la réunion rapide de nos élus locaux prouve que un événement important à eu lieux...
- Valérie je suis avec le conseiller Fourraux, monsieur Fourraux que pouvez vous nous dire sur cette sirène qui retentit?
- Je ne peux rien vous dire pour l'instant, mais je peux vous assurez que ce n'est pas grave, les citoyens de la ville ne doivent pas céder à la panique, ils doivent simplement suivre les directives des forces de l'ordre et tout ce passera bien.
- Est ce qu'il y à un danger potentielle? une évasion? une catastrophe industrielle ou naturelle?
- Non rien de tout cela mademoiselle, nos citoyens sont en sécurités..."

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* Il n'y a rien de grave alors pourquoi on n'a pas plus d'informations *

D'un coup une musique se mît a me taper dans les oreilles mais autre chose envahissait mes pensée.

" - Je vous dépose quelque part Edwin ?
- Hein euh déposez moi au Commissariat du Nord je vous prie. "

"Au commissariat ? C'est parti"

Le chauffeur appuya machinalement sur le bouton faisant démarrer le compteur de kilomètres avant de remettre sa ceinture. Edwin se retourna pour en faire de même lorsqu'il fut brusquement poussé en arrière. Le chauffeur avait une conduite assez brutale, et ses accélérations étaient rapide.

"Sacré moteur, hein ?" dit le chauffeur de taxi avec un petit rire.

Edwin l'entendait à peine, la voix de Mohamed était entièrement camouflée par le mélange des bruits du moteur, de la radio et de l'alarme. Lorsqu'Edwin parvint enfin à accrocher sa ceinture, il leva la tête pour voir la rue. Les gens semblaient perdus, regardaient autour d'eux comme s'ils attendaient une réponse à leur question. Assis au bord d'un mur, un groupuscule de personne maintenaient leur concentration sur le téléphone de l'un d'entre eux, leur visage n'avaient aucune expression, c'en devenait inquiétant.

La voiture s'arrêta brusquement. Mohamed baissa sa vitre et passa la tête par la fenêtre. Il donna un petit coup sec sur le volant avec sa main droite.

"Bordel c'est pas possible ! On dirait que tous les feux sont au rouge ! Ca va être dur d'avancer. Je suis désolé mon p'tit gars, mais il va falloir continuer à pied si vous voulez y arriver plus tôt."

Ewdin remercia le conducteur et sorti du taxi, il n'avait fait qu'une centaine de mètres seulement, mais c'était déjà ça de pris.

[HRP] N'ayant pas le temps de finir le Rp qui aurait expliqué mon départ, je l'explique en 2 ici.
Je pars en vacance jusque Mardi donc je ne pourrai pas poster et ayant vu se problème avec Rhan cela ne posera pas trop de souci.
Donc bonne vacance a tous et bonne chance face aux zombies.

L'air était frais dans le taxi, ce qui m'apportait une sensation de détente malgré toute cette agitation.
Tout en regardant le chauffeur se préparer a démarrer sa voiture, je remarqua un geste des plus étranges :
Il déclencha son compteur de kilomètre.

* Étrange comment peut-il penser a ça dans un moment pareil, surement une habitude *

Alors que le chauffeur démarra je me retrouvât brutalement la tête encastrée dans le siège avant. Le chauffeur venait de prendre un départ des plus brusque qui me fît assez mal a la tête.
Après la douleur passé mon esprit partît vagabonder ailleurs, les gens dehors était vide d'expression sa en devenait flippant
Mon attention se fixa sur un détail : un groupe de jeune qui avaient leur attention fixé sur un téléphone.
La voiture s'arrêta brusquement ce qui me fit une deuxième fois manger le siège avant.

" - La y-en a marre qu'est ce qui se passe cette fois ci ?
- Bordel c'est pas possible ! On dirait que tous les feux sont au rouge ! Ça va être dur d'avancer. Je suis désolé mon p'tit gars, mais il va falloir continuer à pied si vous voulez y arriver plus tôt."

Un embouteillage, alors qu'il n'y avait personne dans les rues. Je n'y croyais pas mais en regardant par la fenêtre je vis ceci :



" Effectivement, je vous remercie de m'avoir amené jusqu'ici bonne chance pour la suite "

Et puis je partît a vive allure dans la direction du commissariat

Le commissariat n'était pas vraiment loin, l'affaire d'une dizaine de minute tout au plus. Vous voilà donc à marcher d'une allure assez rapide sur le trottoir en vous faufilant entre les passants. Il vous fallait des informations, vous vouliez savoir ce qu'il se passait. Mais est-ce que la police vous donnerait les renseignements nécessaires ? Leur mission première est d'assurer le calme et la sécurité, rassurer les citoyens en leur disant que tout va bien serait surement l'attitude adoptée. Vous continuez de réfléchir à une méthode qui pourrait vous en apprendre d'avantage, cela vous obsède tellement que vous ne remarquez même pas que la masse de gens augmente petit à petit.

Vous n'êtes plus qu'à une cinquantaine de mètres du commissariat, lorsque subitement, vous sortez de vos pensées. L'alarme vient de s'arrêter, et le premier son que vous entendez est cri d'une femme. Il semble provenir de la rue rejoignant celle où vous vous trouvez.


Description :
Il y a une foule assez importante, répartie sur toute la rue. Vous distinguez au niveau de l'intersection la plus proche qu'un accident de voiture à eu lieu, créant un bouchon monstre. Le fait qu'il n'y ai pas d'attroupement autour vous rassure, ce ne doit pas être très grave. Il est 19h05


Illustration de la rue :

La rue était bondée, et la nuit commençait légèrement a tomber.
Essayant de me frayer un petit chemin au milieu de tous les passants en pensant a ce que les policiers allait me dire.
Sans m'en rendre compte la foule augmentait petit a petit et il devenait de plus en plus dur de se faufiler entre les passants.
A une cinquantaine de mètre du commissariat un brusque silence m'interpella :

La sirène c'était arrêté.

Mais ce silence ne dura pas longtemps, un femme poussa un cri quelque mètre devant moi. Le cri fût bref et un silence de mort tomba.
La sécurité avant tout je me dirigea vers le lieu du cri ou personne ne se trouvait.

* Si il n'y a personne c'est que se ne doit pas être grave mais c'est-on jamais on va vérifier *

En arrivant sur les lieux je vis une femme allongée par terre. Pris de panique je m'approchât d'elle.

" Madame, vous allez bien, répondez moi "

Petit a petit plusieurs personnes s'approchait lentement mais étant concentré sur la femme inconsciente je ne les remarquât même pas.

* Qu'est ce que je peut faire ? *

la femme restait inconsciente,vous commencez à lui mettre de légères gifles pour tenter de la réveillé quelqu'un vous attrapa par l'épaule ce qui vous fit sursauter.

"Je suis médecin, j'habite juste à coté, vous voulez bien m'aider à la transporter jusqu'à chez moi?"

Vous remarquez alors les personnes qui s'avançaient lentement vers vous tout en relevant la femme. Ils avaient touts les yeux levés au ciel en direction du sud ouest d'où s'élevait une épaisse fumée noire.
Vous prenez à peine le temps de faire attention à cette fumée et vous aidez le médecin à apporter la femme toujours inconsciente chez lui.

Le médecin habite au troisième étage d'un appartement à la déco style année 60, avec beaucoup de place et des meubles aux formes bizarres. Vous déposez la femme sur le canapé et le médecin commence à l'ausculter.